25.11.22

Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes : retour sur les actions portées par la majorité présidentielle

Le 25 novembre 2017, l'égalité entre les femmes et les hommes était déclarée "Grande cause nationale". Pour son second quinquennat, le Président de la République a décidé de renouveler cette démarche.

Depuis 2017, la majorité présidentielle a largement oeuvré pour lutter contre les violences faites aux femmes.

Voici les principales mesures adoptées :

1) Depuis 2019, le Grenelle des violences conjugales 

- Objectif : encourager la libération de la parole et lancer une dynamique interministérielle inédite.
- Des mesures sans précédent : numéro 3919 disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 ; levée du secret médical en cas de danger pour la victime ; collecte de preuves sans dépôt de plainte à l’hôpital (3 300 examens réalisés depuis le 1er semestre 2022) ; structures de prise en charge sanitaire financées par les ARS (financement par l’Etat de 50 maisons des femmes d’ici au 1er semestre 2023).

Le Grenelle des violences conjugales lancé en régions à l'initiative des députés du groupe La République en marche a débouché sur l'adoption en juillet 2020 d'une proposition de loi portée par Guillaume Gouffier-Cha et Bérangère Couillard.

2) Un ministère de l’Intérieur pleinement mobilisé

- Depuis 2018, 160 000 policiers et gendarmes ont été formés.
- Investissement financier dans l’accueil des victimes afin d'améliorer la personnalisation et l'accompagnement.
- Permettre le dépôt de plainte « hors les murs ».
- Création d'une plateforme d’accompagnement numérique des victimes en novembre 2018 (24h sur 24, 7j sur 7, 21 000 signalements effectués).
- Création de l’outrage sexiste - la France est le premier pays au monde à l’avoir adopté (2.300 outrages sexistes constatés en 2021).

3) Le ministère de la Justice, un partenaire essentiel de la prévention à l’exécution de la peine

- Réduction des délais de procédure pour les ordonnances de protection de 42,2 jours à seulement 7 jours en moyenne entre 2013 et 2021.
- Éviction du conjoint dès le déferrement (+ 205% entre 2017 et 2021).
- Ordonnances de protection largement utilisées, tout comme les téléphones "grave danger" et les bracelets anti-rapprochement (4 300 téléphones et 900 bracelets déployés).

Cliquez ici pour visualiser la vidéo de mobilisation des députés Renaissance sur twitter.

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